HOMME INACCESSIBLE novel Chapter 3026

Chapitre 3026 

Ce que les troupes gouvernementales ne savaient pas, c’était que le moral de l’armée d’Hamid, au lieu de s’ébranler, est bien monté sous les bombardements. 

Error 

Quand Hamid voyait que les bombardements ne pouvaient pas altérer d’un iota les galeries en contre–pente, il s’est beaucoup 

rassuré. 

Entendant les bruits des obus qui grondaient dehors, il pensait avec émotion: 

– 

– Heureusement que nous nous sommes tous cachés dans les galeries en contre–pente en suivant l’avis de Clément, sinon, nous aurions déjà été tués dans les bombardements! 

– 

Dans la bataille de triangle Hill, les troupes chinoises ont pu finalement vaincre leurs rivaux américains dans les bombardements de plusieurs millions d’obus lancés par les Américains, c’est non seulement parce que les soldats chinois étaient très vaillants, mais surtout parce qu’ils ont aussi utilisé des tactiques avancés ! 

Eh bien, je vais creuser toutes les montagnes autour de la base pour construire une forteresse impénétrable aussitôt après cette bataille avec l’armée gouvernementale ! 

Cette fois, les troupes gouvernementales ont apporté des dizaines de milliers d’obus et plus de 30 obusiers, donc les bombardements dureraient encore longtemps. 

Lors des bombardements, leurs fantassins continuaient inlassablement leur progression vers la base d’Hamid. 

Après une vingtaine de reprises de bombardements, la base d’Hamid a déjà été en grande partie rasée et et seules quelques maisons restaient encore debout. 

Certains soldats sont venus prudemment à l’entrée des galeries pour constater les dégâts de la base, mais d’un seul regard, ils avaient les yeux mouillés et les poings serrés. 

Pour Igor, cette base n’était qu’une petite cour délabrée, mais pour les soldats, c’était leur maison ! 

Comment ces soldats pouvaient–ils supporter que leur maison soit détruite ?! 

Néanmoins, quand les soldats d’Hamid étaient bien préparés à se venger, les coups d’obus ont recommencé ! 

Cette fois–ci, les obus sont directement tombés sur la pente qui donnait sur les troupes gouvernementales.