HOMME INACCESSIBLE novel Chapter 3978

Chapitre 3978 

Les membres de la Bande italienne avaient un surnom pour le parrain agn, it’s l’appelaient – Ryan ». 

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Le vrai nom du parrain age n’était pas Ryan, la raison pour laquelle ils l’appétalent ainsi était le film de guerre américain classique « Il faut sauver le soldat Ryan S. 

Dans ce film, les frères de Rvan et lui se sont engagés dans farmée et trois étaient morts, si bien que le gouvernement américain a décidé de ramener Ryan coûte que coûte. 

En réalité, les cing his du parrain âgé étaient morts et, aux yeux des membres de la Bande italienne, il était plus grand que Ryan. 

C’était pourquoi tout le monde lui a donné un tel surnom. 

À ce moment–là, le parrain agé était assis dans un fauteuil roulant et a été poussé jusqu’à l’église, et lorsque tout le monde l’a vu, ils se sont tous levés pour lui rendre hommage. 

Ensuite, quelqu’un s’est écrié : 

– Monsieur, plus de huit cents personnes sont disparus, vous devez nous guider dans cette affaire ! 

Quelqu’un a répondu immédiatement : 

– Oui! Regardez tous les vieillards, les femmes et les enfants, aidez–les s’il vous plaît ! 

Le parrain age a dit : 

– Je… Je suis au service de la bande depuis de nombreuses années… Je n’ai jamais rencontré quelque chose d’aussi bizarre… Est–il vraiment vrai que tant de monde est disparu ? 

– Oui… s’est écrié quelqu’un, nous avons compté, tous ceux qui étaient à Vancouver ont tous disparu… 

– 

Oh Dieu… a dit le parrain âgé, je… ne vois aucune bande à Vancouver qui aurait la force de faire ça… 

Quelqu’un a dit : 

Monsieur, je crains que mon fils ne soit mort, pourquoi ne pas appeler la police… Cette affaire, je penses que seule la police pourrait nous aider! 

– Qu’est–ce que tu racontes comme bêtises! 

Le parrain âgé était tellement en colère qu’il s’est presque levé, il a dit avec colère, 

– 

Je n’ai même pas appelé la police quand mes cinq fils étaient morts, vous voulez appeler la police alors que vos fils n’ont disparu que depuis une 

nuit ? 

La chose la plus taboue dans le monde clandestin, c’était la police! 

Le rugissement du parrain âgé a effrayé tout le monde. 

Les gens ne comprenaient pas vraiment pourquoi le parrain âgé était si sensible à la police. 

Une femme pleurait et lui demandait : 

– Monsieur… dans des moments comme celui–ci… quels autres bons moyens avons–nous que d’appeler la police…? 

Le parrain âgé lui a répondu : 

– Votre mari ne vous a–t–il jamais dit de ne pas demander l’aide de la police, même s’il est mort ? C’est un principe que tous les membres de la bande 

connaissent ! 

A ces mots, la femme était un peu décontenancée et a dit : 

–