HOMME INACCESSIBLE novel Chapter 4227

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Chapitre 4227 

Ne sachant pas si Roselyne disait vrai, Anderson a répondu sérieusement: 

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La police de New York a tout donné pour trouver des indices. Mais ces kidnappeurs, putain, ils sont pros. En peu de temps, nous n’avons absolument aucune piste concrète. Où est Alain Brunelle ? Qui sont ces enfoirés qui l’ont pris ? On n’a pas la moindre idée. 

Il a continué, se grattant le menton, Fair grave: 

J’ai cette idée dans la tête, tu vois… Ces gars–là, je pense pas qu’ils veulent juste de la thune en échange de M. Alain. Ça ressemble plus à une vendetta, préparée depuis un bail. Ils doivent savoir ses secrets, des trucs qu’on voudrait pas que tout le monde sache. En le kidnappant et en mettant ça sur la place publique, ils ont fait pencher la balance de l’opinion vers lui, l’ont rendu plus… humain. Mais si jamais ils exposent ces secrets maintenant, ça va être un coup dur pour les Brunelle. 

Roselyne était un peu surprise, Anderson avait l’air de tout comprendre, même s’il manquait encore des preuves. 

1. Anderson, moi j’y pige rien, elle a dit, l’air perdue, Alain, il venait de commencer sa carrière, pourquoi des scandales ? 

Anderson a secoué la tête e avec force: 

– 

– J’en sais foutrement rien, mais si ces enfoirés l’ont enlevé, et qu’ils ont tranché ses oreilles pour le spectacle, y’a forcément du louche derrière. 

Puis il s’est tourné vers Ardouin, le regard sérieux: 

-M. Ardouin, je te l’ai déjà dit, je sens que tu en sals plus que ce que tu dis. Si ces salauds ont vraiment des secrets sur Alain, ta famille et même la police, on est dans la merde. Si on continue comme ça, le atauds public va se retourner contre nous. Si on arrête, on perd toute crédibilité. 

Ardouin, visiblement mal à l’aise, a balbutie: 

– M. Anderson… je… je sais pas, vraiment. Mon petit–fils… 

Il s’est arrêté net, incapable de finir sa phrase.. 

il voulait dire qu’Alain était excellent, mais les images des vidéos lui revenaient en mémoire, le coupant dans son élan. Il sentait que s’il continuait à mentir, les esprits des filles tuées se retourneralent cont lui. 

Anderson, voyant qu’Ardouin hésitait, a insisté: